Aujourd’hui, l’impression 3D et l’intelligence artificielle sont les deux sujets les plus importants concernant les nouvelles technologies et plus particulièrement dans les différents secteurs industriels. Que l’on parle de l’une ou de l’autre technologie, nous sommes tous d’accord pour dire qu’elles sont, toutes les deux, en constante évolution et que les améliorations techniques ne cessent d’accroître pour donner de nouvelles possibilités de performances incroyable.
Qu’est-ce que l’intelligence artificielle (IA) ?
L’intelligence artificielle est présente dans notre quotidien quasiment partout. Que ce soit sur les moteurs de recherches ou encore simplement pour déverrouiller son téléphone mais aussi les assistants vocaux et plus encore. Cette technologie fonctionne principalement grâce à des réseaux de neurones. Une IA peut donc apprendre des processus, s’entraîner et jouer de ses différents essais pour apprendre et se corriger elle-même afin d’optimiser le processus initial. Ce qui permettrait une réelle avancée technologique pour les imprimantes 3D.
Un point sur l’impression 3D
Appelée aussi fabrication additive, l’impression 3D permet de créer des pièces/objets ou toute autre forme de façon simple et personnalisé. L’imprimante 3D superpose des couches afin d’obtenir la forme souhaitée. Aujourd’hui, de nombreuses matières imprimables en 3D sont disponibles. La fabrication additive n’est pas encore arrivée au maximum de ses possibilités bien qu’elle soit déjà assez avancée. Il est possible aujourd’hui d’imprimer des maisons en 3D, des figurines, des pièces industrielles mais encore de la nourriture, des chaussures… Découvrez les différentes techniques d’impression et les matières utilisables dans nos différents articles sur notre blog.
Lier la fabrication additive à l’intelligence artificielle ?
L’IA peut d’ores et déjà améliorer les différents processus d’impression 3D. Pour commencer, l’IA peut analyser seule et ainsi réaliser les calculs en totale autonomie pour estimer si oui ou non l’objet peut être imprimé. Elle peut également tenter de prédire la qualité de l’objet et les erreurs d’impression possibles afin de gagner du temps avant de lancer une impression 3D. L’association de ces deux technologies pourrait donc une fois de plus, révolutionner le monde de l’industrie. Bien qu’elles soient parfois controversées, les avantages restent tout de même nombreux.
L’impression 3D ne cesse de progresser dans sa technologie et ses matériaux. De plus en plus présente dans de nombreux secteurs d’activité, la fabrication additive est aujourd’hui au cœur de nombreuses innovations. Nous sortons tout juste de cette période de confinement lié à la propagation du Covid-19 dans notre pays. Durant cette période, nous avons vu naître de nombreuses fabrications d’objets imprimés en 3D dans le but de participer à la lutte contre le Covid-19. Le blog InnoProduct vous propose un retour sur ces différentes créations 3D qui ont vu le jour.
Les visières 3D en plexiglas contre le Covid-19
De nombreux jeunes, entre 17 et 20 ans environ, ont réalisés aux quatre coins du pays des visières 3D grâce la fabrication additive. Ces visières ont pour but de protéger le visage lors des contacts humains. Ces visières ont été pour la plupart distribuées bénévolement dans les établissements médicaux afin d’aider le personnel hospitalier. L’impression 3D permet de produire ces visières en grande quantité et de façon rapide.
Mais ces visières 3D ont également été créées par de nombreuses structures à travers le monde et notamment au Togo, où le virus s’est également propagé. C’est une association togolaise nommée Energy Generation a équipé une clinique privée de la capitale en visière 3D.
Les groupes de travail de HP
La société HP y a également mis sa patte. La société à créé un groupe de travail spécialement dédié à la production de matériel en impression 3D pour lutter contre la crise sanitaire. Ce sont donc plus 1,5 millions de produits qui ont été fabriqués avec la fabrication additive. HP travail désormais sur une nouvelle permettant de réaliser des tests sur les personnes. Une nouvelle fois, l’impression 3D permet de répondre de façon immédiate face à une crise mondiale. Grâce a la personnalisation des pièces 3D mais également grâce à la rapidité de production.
Notre impression 3D : le crochet InnoProduct
La société InnoProduct a lancé durant le mois de Mai son crochet de porte imprimé en 3D. Afin d’éviter la propagation du covid-19, ce crochet permet d’ouvrir des portes sans toucher la poignée ou encore d’appuyer sur des boutons comme celui des ascenseurs par exemple. Ce crochet permet donc d’éviter tous contacts sur des surfaces où beaucoup de personnes y posent leurs mains. Ce crochet réalisé grâce à l’impression 3D est au prix public de 4,99 €. Pour le commander n’hésitez pas à nous contacter sur le formulaire de contact.
L’impression 3D a donc permis de répondre très rapidement à des besoins sanitaires. Cette crise a pu montrer le potentiel de cette technologie qui permet de créer des produits de façon simple et rapide pour pouvoir répondre très efficacement en cas de crise. La fabrication additive devient présente dans de nombreux secteurs et ne cesse de se diversifier. Au point même que certains hôpitaux comme l’hôpital Cochin à Paris, a installé plusieurs imprimantes 3D pour produire plusieurs équipements médicaux pour leur personnel soignant. Une preuve que la fabrication additive est en pleine expansion et peut, pourquoi pas, révolutionner le monde de l’industrie.
Vous recherchez un service impression 3D ? InnoProduct est une jeune entreprise basée à Bordeaux à l’intention des professionnels de tous secteurs et en particulier ceux de l’industrie et dans toute la France. Cette entreprise 3D vous accompagne tout au long de votre projet. De l’idée à l’impression 3D, nous vous conseillons à chaque étape du processus.
Un service impression 3D de qualité
Notre entreprise impression 3D établie le processus de fabrication en 3 étapes qui vont vous permettre de concrétiser une idée de façon rapide et à moindre coût. Le service d’InnoProduct se compose en 2 équipes. Une équipe de concepteurs 3D et une équipe d’impression 3D vous permet donc de visualiser au fur et à mesure la naissance de votre produit. Ces étapes peuvent être indépendantes les unes des autres mais doivent respecter un ordre précis. Elles sont très importantes dans le processus de confection de votre produit. C’est pour cela que notre service impression 3D vous accompagne et vous conseil au fil des étapes.
La conception 3D
La première étape de notre service impression 3D est le développement de votre produit. Après nous avoir émis votre idée de produit, notre équipe de conception 3D CAO (conception assistée par ordinateur) prend le relais. Son objectif est d’élaborer sur informatique plusieurs plans en 2D et en 3D. Cette étape est importante car elle permet d’avoir une première visualisation virtuelle de votre produit. Une fois cette étape validée ensemble, nous pouvons passer à la suivante.
Le prototypage rapide
Cette phase d’impression 3D est une étape charnière du processus. Une fois la conception 3D validée, c’est au tour du prototypage rapide de faire son entrée. Cette étape consiste à fabriquer une première pièce par impression 3D ou par usinage CNC afin d’avoir un premier aperçu physique du produit. C’est donc le moment de procéder aux dernières retouches possibles avant injection plastique. Cette étape permet de réaliser rapidement un premier essai tout en limitant les coûts. Elle permet également d’anticiper les défauts non visibles sur ordinateur et avoir ainsi un rendu final optimal. Une fois le produit fini et validé, c’est le moment d’entamer la prochaine étape.
L’injection plastique
La dernière étape de notre service impression 3D intervient après avoir valider le prototype. Dans un premier temps, nous élaborons le moule injection plastique qui va permettre la production en série de votre produit. Une fois ce moule terminé, nous passons donc à l’achat de matières premières pour réaliser l’injection plastique. Cette technique d’impression permet la production en plus grande série. Le principe est simple, dans un réservoir, nous plaçons des granulés de plastique qui vont être envoyé dans un cylindre. Ce cylindre va faire fondre le plastique pour qu’il soit liquide et qu’il devienne ainsi modulable à souhait. Ce cylindre va ensuite commencer l’injection plastique en introduisant le plastique dans le moule afin qu’il prenne la forme souhaitée.
Notre service impression 3D se fait gage de qualité. D’une simple idée à la production en série, nous nous engageons à respecter les différents délais de production et à vous offrir une qualité de service irréprochable tout au long de notre collaboration. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter par mail ou par téléphone.
Il est difficile, aujourd’hui, de passer à côté de cette épidémie qui touche de plus en plus de pays. En effet, nous constatons depuis maintenant plus d’1 mois que le coronavirus est présent maintenant dans 63 pays et a fait plus de 6 000 morts à cette heure-ci. En France, l’épidémie ne cesse de se rependre à travers les régions. Mais également dans toute l’Europe. Où ont été recensé environ 1 700 cas de coronavirus en Italie, 130 en France et en Allemagne. Et plus de 80 000 cas en Chine, épicentre de l’épidémie. C’est pourquoi, avec l’afflux de personnes dans les hôpitaux, qu’une entreprise chinoise à décidé de créer des maisons d’isolement pour soulager la surpopulation dans les hôpitaux. Cette entreprise, spécialisée dans l’impression 3D, a donc réalisé plusieurs maisons imprimées en 3D.
Maisons imprimées en 3D pour alléger les hôpitaux
En effet, la Chine qui est le pays le plus touché par le virus (pays également où le Covid-19 a vu le jour) doit optimiser au mieux l’organisation de ses hôpitaux afin d’accueillir le plus de personnes possibles. Dans le but de traiter un maximum de patients. Et cela passe notamment par l’accueil d’un maximum de personnes en simultané. Dans la ville chinoise de Xianning, plusieurs maisons d’isolements ont été fabriquées pour accueillir des personnes atteinte du virus du Covid-19. En effet, l’impression 3D permet de produire à une plus grande vitesse des bâtiments de plus ou moins grande taille. Elle permet également de pouvoir répondre assez rapidement à différentes situations de crise. Dans le cas du virus, soulager les hôpitaux pour accueillir plus de personnes permet d’accélérer le processus de traitement individuel et d’accueillir plus de personnes simultanément. De plus, ces maisons répondent aux normes d’isolation.
Des maisons 3D simples, utiles et viables
Le procédé de fabrication se fait par extrusion. Des couches sont successivement mises les unes sur les autres pour reproduire la forme des maisons. Les matériaux utilisés sont des matériaux durables à base de sable et de gravats de construction. La solidité de ces maisons serait même supérieure à celle d’une maison construite avec des techniques “traditionnelles”. Ces maisons imprimées en 3D peuvent accueillir 2 personnes et sont équipées d’une douche, de toilettes et d’un lit. Avec une superficie de 10 mètres carré, ces maisons sont construites en seulement 2 heures chacune. L’entreprise chinoise a donc réalisé 15 maisons en seulement 24 heures. Elle a également déjà annoncé la prévision de plus de 200 constructions de maisons 3D. Le coût de cette production serait de 4 000 dollars dont l’entreprise prend elle-même en charge à travers des campagne de financement et recherche de dons pour lutter contre cette crise mondiale.
On constate donc aujourd’hui que l’impression 3D peut avoir énormément de ressources que ce soit pour l’environnement, la simplicité de construction ou encore sa rapidité d’exécution. Avant l’impression 3D, il aurait été impossible de construire aussi vite ce genre de construction à moins d’avoir d’énormes moyens humains. Elle permet de répondre en un temps record lors d’une période de crise. Côté virus, espérons que cette épidémie cesse au plus vite et épargne un maximum de personne.
Depuis des années, nous parlons de gaspillage alimentaire et en même temps de famine dans le monde. On nous parle aussi d’écologie, de nourriture malsaine et mauvaise pour la santé. Les changements de mode de consommation commencent à se faire sentir mais n’en sont qu’à leur début. Mais un procédé peut, aujourd’hui, contribuer énormément à ces différents soucis environnementaux et humains. L’impression 3D alimentaire, bien qu’encore aux prémices de sa technologie, fait parler de plus en plus d’elle. Des entreprises se sont penchées sur le sujet et même des entités publiques telles que des villes commencent à s’y intéresser.
Pourquoi passer à l’impression 3D alimentaire ?
Réduire les déchets alimentaires
La première des raisons est de limiter les déchets et ainsi le gaspillage alimentaire. Une entreprise néerlandaise du nom de Upprinting Food s’est spécialisée dans l’impression 3D de plats à base d’aliments jetés. La société récupère des aliments pour ensuite en faire de nouvelles recettes et proposer des plats à destination des restaurateurs. En plus de la récupération des aliments jetés, les plats sont peu calorifiques et bon pour la santé.
Faire des plats personnalisés aux formes complexes
Le deuxième argument en faveur de l’impression 3D alimentaire est qu’il est possible de réaliser des plats personnalisés grâce aux technologies des imprimantes 3D. Ces dernières sont capables de réaliser toutes sortes de formes dont même l’Homme ne peut pas réaliser du fait de la très grande précision que cela demande. Il existe également de plus en plus de variété d’aliments imprimables en 3D. Ce qui nous donne une idée sur le futur de l’impression 3D dans le secteur de la gastronomie.
Améliorer son alimentation pour une meilleure santé
Pourquoi ne pas rendre l’alimentation plus ludique ? En effet, la personnalisation des plats pourrait aider à manger plus varié. Les épinards par exemple peuvent prendre la forme d’animaux, ce qui pourrait rendre plus facile pour les enfants de manger des aliments qui rencontrent peu de succès. Ce qui peut donc également améliorer l’alimentation saine pour les enfants mais également pour l’être humain en général.
De la nourriture dans l’espace
En effet, la NASA s’est également intéressée au sujet de la fabrication additive concernant les expéditions spatial. L’impression 3D alimentaire permettrait à ses astronautes de réaliser leur plat grâce à une imprimante 3D. Depuis 2006, la NASA à commencé des recherches pour améliorer les conditions de vie des astronautes pendant leur mission. L’une des questions était l’alimentation. L’agence spatiale américaine, en collaboration avec une autre entreprise, ont alors créé une imprimante 3D capable d’imprimer une pizza. Il ne reste alors plus qu’à la mettre au four. Cette avancée pourrait permettre ainsi d’améliorer les conditions de vie des astronautes. Un aspect important, surtout pendant de longues missions.
L’impression 3D alimentaire dans une maison de retraite
En Suède, une maison de retraite a prévu d’utiliser la fabrication additive d’aliments pour rendre ses plats plus appétissants aux yeux de ses résidents. En effet, le service de restauration de la maison de retraite s’est basé sur une idée simple : un plat bien présenté et des aliments avec des formes plus esthétiques sont bien plus appétissants, surtout lorsque ce sont des personnes âgées qui, pour la plupart, ont du mal à mâcher et avaler leur repas.
Nous constatons donc aujourd’hui que l’impression 3D alimentaire peut jouer un rôle important dans notre mode de consommation et nos différentes façons de s’alimenter. Mais qu’elle peut également devenir un enjeu majeur pour l’environnement.
Depuis quelques années maintenant, l’impression 3D apparaît dans de nombreux secteurs d’activités différents. Aujourd’hui, de nombreux records mondiaux ont été établis pour des sculptures 3D aux quatre coins du monde. Voici donc un aperçu sur les différents records actuels dans le secteur de la fabrication additive.
Le plus grand squelette imprimé en 3D
Le 15 Janvier 2016, au musée d’histoire naturelle de New York a été exposé pour la première fois un squelette de titanosaure de plus de 37 mètres à été exposé. C’est une entreprise canadienne qui s’est chargé de la fabrication de la créature 100% imprimé en 3D basée sur 84 fossiles retrouvés sur un site en Argentine. Cette reproduction d’un des plus grands dinosaures au monde s’est vu remettre le record du monde du plus grand squelette reproduit grâce à l’impression 3D. La créature, trop grande pour sa salle d’exposition au point de laisser dépasser sa tête et une partie de son cou de l’entrée de la salle.
Nano-sculpture : la plus petite sculpture humaine 3D
C’est un Anglais du nom de Jonty Hurwitz qui a réalisé la plus petite sculpture 3D au monde. Ses dimensions sont de 80 par 100 par 30 microns (1000 microns sont environ égaux à 1 millimètre) soit le diamètre d’un cheveu. L’œuvre représente une femme nue inspirée par le premier amour de l’artiste. La sculpture 3D à été vérifié à Karlsrhue en Allemagne à la Karlsrhue Nano Micro Facility. La nano-sculpture a été confectionné grâce à une prise de photos avec plusieurs appareils pour en sortir un fichier 3D. Ce dernier a ensuite été miniaturisé afin d’obtenir la plus petite échelle possible. Pour ensuite être sculptée et imprimée grâce à la technique de lithographie multiphotonique.
Bateau imprimé en 3D : le plus gros du monde
En France, et plus particulièrement au sein de l’Université du Maine que le plus grand bateau en impression 3D fut réalisé. Appelé 3Dirigo, ce bateau pèse 2,5 tonnes et mesure 7 mètres de long a été imprimé en seulement 72 heures avec l’une des plus grande imprimante 3D au monde.
Record du monde du nombre d’imprimantes 3D en simultané
Une université américaine du Texas a réuni dans une même salle 108 imprimantes 3D dans le but de les faire œuvrer en même temps. Le principe était de faire fonctionner au moins 50 imprimantes simultanément pour battre le record du monde. Chaque étudiant se devait donc d’imprimer une pièce à l’image de l’université et l’impression devait se passer jusqu’au bout. Durant 20 minutes, ce sont 102 imprimantes qui ont atteint leur objectif d’impression le tout en simultané.
Sculpture 3D : le plus gros canard imprimé en 3D
Il s’appelle Bernard et c’est le plus grand canard imprimé en 3D au monde. C’est à Roubaix que fut établi le record. Cette sculpture 3D a été réalisé après plus de 3 000 heures d’impression 3D soit 273 pièces produites avec 40 imprimantes 3D. Bernard mesure 2 mètres et pèse environ 35 kilos. Le matériau utilisé pour cette œuvre est le filament d’amidon de maïs. Aujourd’hui, vous pouvez retrouver Bernard sur le toit d’une chaîne de fast-food “Canard Street” dans le quartier de la Défense à Paris dont il est devenu l’égérie.
Un train miniature avec le plus grand nombre de voitures à son bord
En Septembre 2017, l’entreprise FabLab à réalisé un train miniature avec 55 sculptures 3D de voitures différentes à son bord. Ces dernières ont été réalisées avec la méthode SLA. Le convoi mesure 7 mètres de long et établit ainsi le record du nombre de wagons imprimés en 3D.
La sculpture 3D du corps humain la plus grande du monde
C’est un Youtuber du nom de James Bruton. En Octobre 2017, il finalise l’assemblage de la plus grande sculpture 3D d’humain. Il a reproduit son propre corps grâce à la fabrication additive. La sculpture mesure plus de 3 mètres et devient donc la plus grande sculpture 3D du corps humain. Il aura fallu 500 heures d’impression 3D étalées sur deux mois et deux imprimantes 3D pour réaliser les différentes parties du corps. Ce sont également 50 kilos de filament qui ont été utilisés pour fabriquer cette immense sculpture 3D.
La plus grande exposition de sculptures 3D
Pour conclure cet article, voici donc la plus grande exposition d’œuvre réalisée grâce à la fabrication additive. Cette dernière s’est faite à Hong Kong et plus précisément à la Hong Kong Productivity Council en Juillet 2017. Ce projet fut réalisé par 236 écoles toutes basées à Hong Kong et a réuni plus de 1 200 sculptures 3D. Le but de ce projet à été de reproduire 3 zones bien précises aux alentours de Hong Kong.
Alors que nous réserve le secteur de l’impression 3D ? Va-t-on voir de nouveaux défis et records être battu au fil des années ? Tout nous laisse penser qu’il y a de forte chance pour que les prouesses ne s’arrêtent pas là.
Si vous avez apprécié cet article, n’hésitez pas à consulter nos autres réalisations dans notre blog.
Les avions 3D deviennent de plus en plus une priorité pour les entreprises du secteur. AirBus, Boeing et même British Airways se sont intéressés de près à l’impression 3D pour fabriquer la plupart des pièces de ses avions.
AirBus : l’entreprise 3D au début de l’innovation
La société française d’aéronautique imprime plus de 70 000 pièces imprimés en 3D pour ses aéronefs. De plus, quelques projets de fabrication additive d’avions 3D. Toutefois, l’entreprise française n’a pour le moment pas réalisé de projet d’impression 3D sur les plus grosses pièces de ses avions.
Le précurseur des avions 3D : Boeing
Cela fait maintenant plusieurs années que l’entreprise américaine s’intéresse à l’impression 3D pour produire ses pièces. Le Boeing 777 est la meilleure vente du groupe américain. C’est donc dans cette logique que l’entreprise a sorti le Boeing 777x dont les moteurs GE9X sont composés de plus de 300 pièces imprimées en 3D.
La fabrication additive permet de réduire le temps de production des avions et leur poids. Ce qui joue également sur la consommation de carburant des avions. Le 777x devient l’un des avions ayant baissé sa consommation de 10 %. Ce qui fait de lui l’avion le plus économique. Mais la fabrication permet également de réduire considérablement les coûts de production. Pour le moment, seules les pièces faisant l’objet de nombreux tests de sécurité ne sont pas produites en 3D du fait de la dangerosité d’un potentiel défaut de fabrication.
British Airways se met également aux avions 3D
British Airways s’est concentré sur la fabrication additive de pièces pour l’aménagement intérieur de l’avion. Par exemple, l’entreprise à fabriqué des parties de cabines, différentes pièces servant au divertissement. Pour eux, l’impression 3D permet principalement de réduire les différents temps de production pour certaines pièces et de réduire également les coûts du fait de la réduction de la logistique pour l’acheminement des différentes pièces.
Mais quel intérêt pour ces entreprises ?
L’intérêt pour ces constructeurs est de réduire considérablement les coûts de production de plusieurs millions d’euros. Il existe également une dimension environnementale car la fabrication de pièces pourrait être centralisée et éviterait ainsi de nombreux trajets d’acheminement des pièces. Ce qui réduira également les temps de production et d’assemblage des différentes pièces.
Le secteur de l’aviation se met aussi à la fabrication additive pour concevoir ses propres avions 3D. Bien qu’il ne soit pas encore possible d’imprimer 100 % des pièces en 3D du fait du besoin de sécurité de certaines parties de l’avion. Toutefois, il est très intéressant de voir comment l’impression 3D s’installe dans énormément de secteurs.
Le plastique ABS (ou acrylonitrile butadiène styrène) est l’un des plastiques les plus utilisés dans les secteurs industriels. Notamment dans le secteur automobile. Ce filament 3D est également utilisé par la très réputée entreprise de jouets LEGO. Principalement grâce à sa souplesse et sa forte résistance aux chocs. L’abs plastique peut également résister à tout type de température (de -20 °C à +80 °C). De plus, il permet d’avoir une surface polie et peut être soudé. Il est également réutilisable. Les inconvénients de l’ABS sont qu’il rétrécit au contact de l’air et qu’il n’est pas biodégradable.
PLA
Le PLA ou l’acide polylactique est, en revanche, biodégradable car il est fabriqué à partir d’amidon de maïs qui est une matière naturelle. Les températures d’impression 3D doivent être comprises entre 190 et 230 °C. La principale force du PLA est qu’il ne rétrécit pas à l’impression 3D. Il est également décliné en plusieurs couleurs et beaucoup d’imprimantes 3D l’utilisent. Le désavantage de ce plastique est qu’il est assez difficile à manipuler du fait qu’il refroidit vite et par conséquent, se durcit. De plus, ce filament 3D se détériore et perd sa couleur au contact de l’eau.
ASA
L’acrylonitrile styrène acrylate, très ressemblant à l’ABS de part ses différentes caractéristiques, se distingue par sa résistance aux rayons UV, plus accrue. Il est donc recommandé d’utiliser ce matériau avec une imprimante 3D fermée ou un plateau chauffant dans un espace ouvert. Les autres paramètres d’impression 3D sont très similaires à ceux de l’ABS plastique.
PET
Le polytéréphtalate d’éthylène est utilisé principalement dans la fabrication plastique de bouteilles jetables. Etant semi-rigide avec une bonne résistance, ce filament 3D est beaucoup utilisé dans les emballages alimentaires. Sa température d’impression est comprise entre 75 et 90 °C. De plus, c’est un filament entièrement recyclable et qui ne produit aucune odeur à l’impression. Il existe plusieurs dérivé du PET comme le PETG, PETE et le PETT.*
PC ou polycarbonate
Le polycarbonate est très utilisé dans la fabrication plastique d’ingénierie. Ce matériau est capable peut absorber l’air ce qui peut affaiblir ses performances à l’impression. Il est donc important de le conserver dans des ustensiles hermétiques. En revanche, ce filament 3D est capable de supporter de très forte températures sans se déformer (150 °C maximum).
Les filaments de polycarbonate contiennent des additifs qui permettent également une impression à plus basse température.
Thermoplastique
Les thermoplastiques hautes performances sont le fruit de l’avancée technologique dans l’impression 3D et de recherche sur les différents matériaux. Ces filaments 3D sont bien des matières plastiques mais ils présentent des caractéristiques très proches de ceux des métaux. Ils possèdent de grosses performances mécaniques et thermiques, ils sont également très résistants et plus légers que certains métaux. Ils sont donc très utilisés dans les secteurs mécaniques et aéronautique mais aussi dans le médical.
En revanche, ces filaments 3D ne peuvent s’imprimer qu’a une forte température (230 °C minimum et une extrusion à 350 °C avec une enceinte fermée). Il est, tout de même, possible de les retrouver sous forme de poudre afin d’utiliser la technologie SLS pour la fabrication additive.
Matière plastique
Les filaments souples, similaires au PLA, permettent de développer des produits déformables. Très utilisés dans le secteur de la mode comme les chaussures ou encore les robes et même les maillots de bain. Ces différents filaments 3D ont des caractéristiques de souplesses différentes.
Fibre de carbone
Connu pour être très léger. La fibre de carbone tire son épingle du jeu par son très faible poids. Ces filaments 3D sont de plus en plus recherché dans le secteur de l’impression 3D. Les filaments qui sont composés de fibre de carbone peuvent être de l’ABS, PETG, Nylon ou PLA. La fibre de carbone améliore ainsi les performances de ces différents filaments. En revanche, il est important d’avoir le bon paramétrage de l’imprimante 3D car ces fibres de carbone peuvent bloquer la buse d’impression.
Un autre procédé de fabrication plastique : SLA
En ce qui concerne la technologie SLA ou même DLP et Polyjet, ce sont des résines liquides photosensibles qui sont utilisées pour la fabrication plastique. Cette technologie d’impression 3D plastique permet d’avoir un rendu mate ou brillant selon le choix d’avoir un thermoplastique ou un thermo-solide. A propos des différents matériaux utilisés, ce sont les mêmes que ceux évoqués pour la technologie FDM (voir ci-dessus). On retrouve une très faible gamme de couleurs dans les différentes résines et il est important de nettoyer la pièce à l’alcool isopropylique.
SLS
Le frittage sélectif laser utilise des poudres dont les particules sont fusionnées couche par couche grâce à un laser. Pour retrouver les différentes techniques d’impression 3D, n’hésitez pas à consulter notre article sur la fabrication additive.
Polyamides
Dans le cas des polyamides, le procédé de fabrication plastique se fait le plus souvent sous forme de poudre en SLS mais peut également être imprimé en FDM sous forme de filaments 3D. La principale force des polyamides est qu’ils peuvent être utilisés pour des produits alimentaires (sauf alcool) et génère des pièces plus lisses. Ce matériau se distingue également par sa flexibilité, sa résistance aux chocs et sa stabilité.
PP ou Polypropylène
Le polypropylène se distingue, lui, par sa rigidité et sa capacité à absorber les chocs mais surtout sa résistance à l’abrasion. Ce matériau est très utilisé dans l’automobile, les objets du quotidien, les vêtements jetables et les emballages. En revanche, il possède une très faible résistance à la température et est extrêmement sensible aux rayons UV. C’est pour cela que des chercheurs ont mis en place un des dérivés du polypropylène dans le but d’améliorer ses différents points faibles évoqués précédemment.
Vous l’aurez compris, il existe énormément des matériaux différents pour l’impression 3D plastique. Chacun possède ses propres avantages et inconvénients.
Les objets 3D sont de plus en plus courant. Tout simplement car l’impression 3D permet, aujourd’hui, de réaliser énormément de choses dans le conception d’objets 3D. Utilisée dans un premier temps à des fins professionnelles dans les secteurs plutôt industriels, les différentes techniques d’impression 3D se sont démocratisées. Ce qui a laissé placé à beaucoup d’imagination. Voici donc une sélection de différents objets 3D plus ou moins insolites réalisée grâce à la fabrication additive.
Dans le secteur des océans et de la nature
Réparer une barrière de corail
Une entreprise australienne s’est spécialisée dans la reproduction en 3D de récifs coralliens. L’objectif est de lutter contre la dégradation des coraux grâce à l’impression 3D. Le but est de remplacer les récifs endommagés ou détruits par de nouveaux coraux artificiels.
Des planches de surf biodégradables et recyclables
Deux entreprises françaises se sont alliées dans le cadre d’un projet de fabrication de planches de surf par la fabrication additive. Ces planches de surf 3D sont éco-responsables, bio dégradables et recyclables.
Les objets 3D dans le secteur du médical
Des prothèses imprimées en 3D pour les humains mais aussi pour les animaux
De nombreuses prothèses se font par impression 3D aujourd’hui. Pour les différents membres du corps humain. Mais les prothèses 3D dont on entend moins parler sont bien celles créées pour les animaux handicapés. Plusieurs personnes ont crée elles-mêmes des fauteuils ou autres supports permettant à leur animal domestique de se déplacer.
Dans le même cas, une tortue dont la carapace s’est fortement endommagée durant un incendie s’est vu se faire soigner grâce à l’impression 3D. C’est un groupe de professionnels du médical et de la fabrication additive qui se sont mis en tête d’aider la tortue en menace de mort. Ils ont donc réalisé l’impression en 3D de la carapace sur-mesure pour ensuite la lui poser. En atteste les images ci-dessous :
Des plâtres permettant de réparer plus vite les os
Énormément d’entreprises se sont lancées dans la fabrication additive de plâtre grâce à la fabrication additive. En 2017, ce sont Xkelet et MediPrint qui ont développé un logiciel capable de réaliser un plâtre sur-mesure et personnalisable. L’impression d’un plâtre ne dure que quelques heures. La particularité de ces plâtres est qu’il est possible de prendre sa douche sans aucun problème pour nettoyer la peau située sous le plâtre. Certaines entreprises ont même pu développer des plâtres capable de soigner les os plus rapidement grâce à des électrons.
Des médicaments sous formes de comprimés en 3D
Fabriquer des médicaments par la fabrication additive. C’est aujourd’hui possible ! En effet, depuis 2015, un Italien a expérimenté plusieurs techniques d’impression 3D dans le but de fabriquer des médicaments sous forme de comprimés. Aujourd’hui, plusieurs laboratoires produisent leurs médicaments grâce à l’impression 3D.
Les objets 3D sont aussi présent dans le secteur de l’art
Des tableaux en 3D pour aveugles
Une association strasbourgeoise nommée “L’art au-delà du regard” et en particulier un Strasbourgeois s’est lancé dans le projet de refaire des œuvres d’art. Ces dernières sont ainsi conçues en relief afin que les malvoyants, à l’aide du toucher, imaginent les différents tableaux.
Les instruments de musique ont également eu le droit à leur création 3D
Le premier instrument à avoir été modélisé puis fabriqués en 3D a été la guitare électrique. Aujourd’hui, la majorité des instruments de musique tout type confondus ont été reproduit avec la fabrication additive. Lorsque l’on connait les techniques de fabrication ancestrales des instruments, l’impression 3D en devient une réelle évolution. Ces instruments sont ainsi personnalisables et leur design est de plus en plus épuré. Voici donc quelques exemples d’instrument 3D :
Les créations 3D dans le high tech
Des téléphones portables pour aveugles
C’est une start-up spécialisée dans les téléphones portables pour les personnes dépendantes qui a créé le tout premier mobile pour aveugles. Ce mobile, appelé le “Drawbraille”, permet aux personnes malvoyantes de s’équiper d’un téléphone portable. Ce dernier ne comprend aucun écran, mais seulement des touches sur lesquels il y a des points en relief écrit en braille. On peut y inscrire 12 numéros de téléphones. De plus, ce téléphone est personnalisable et sur-mesure puisqu’il est entièrement réalisé en impression 3D.
Un appareil photo conçu en 3D
Un appareil photo imprimé en 3D. C’est un étudiant qui a lancé sont idée : un appareil photo reflex dont 100 % du boîtier a été fabriquer avec l’impression 3D. L’impression et l’assemblage des différentes pièces ne prennent qu’une petite heure environ.
Le secteur de la mode connaît également l’arrivée de la fabrication additive
Un maillot de bain personnalisé
Vous souhaitez porter un maillot de bain unique ? C’est aujourd’hui possible grâce à l’impression 3D. En effet, un bikini 3D entièrement sur-mesure et personnalisable a été réalisé par un studio de design sicilien. Ce bikini est conçu entièrement grâce à l’impression 3D. Il est également biodégradable et recyclable. La matière utilisée est du PLA dont chaque partie est assemblée avec du coton afin d’avoir un confort optimal.
Des talons au design original
On connaît déjà les chaussures 3D dont ont nous avons déjà abordés le sujet dans un précédent article. Mais cette, fois-ci, ce sont des talons aux allures très originales créés par des designers. Des talons hauts imprimés en 3D qui ont fait l’objet de plusieurs défilés aux formes très atypiques.
Énormément d’objets 3D sont aujourd’hui commercialisés. Des plus atypique et drôles aux plus utiles, de nombreuses idées arrivent chaque et montre que tout est faisable aujourd’hui grâce à l’impression 3D et autres techniques de fabrication additive.
Depuis quelques années, différentes équipes se sont lancées dans la création de voiture 3D. Des entreprises et même des particuliers ont réussi, grâce à différentes techniques d’impression 3D, de concevoir des véhicules 3D. Il est important de garder à l’esprit qu’il n’est pas possible de reproduire 100 % des pièces d’une voiture en 3D.
L’intérêt de choisir des pièces imprimées en 3D
Le principal intérêt de la fabrication additive de voiture en 3D est de réduire considérablement les différents coûts liés à la production. Elle permet également de diminuer le nombre de matériaux utilisés. Dans certains cas, il est également plus efficace en terme de temps de production si l’équipement est de qualité et que les techniques d’impressions choisies sont les bonnes.
Les avantages d’une voiture 3D
D’un point de vue mécanique, la voiture 3D va être nettement plus légère qu’une voiture traditionnelle. Les projets réalisés sont pour la plupart des voitures électriques. Il y a donc un énorme aspect écologique qui entre majoritairement en ligne de compte. Car, au delà du fait que ce soit des voitures électriques, la fabrication additive permet de réduire énormément les déchets liés à la production.
Quelques projets déjà réalisés
La voiture 3D YoYo de XEV
La société italienne XEV (X Electrical Vehicle) a sorti en début d’année 2019, une voiture électrique imprimée en 3D. Cette société avait déjà fait part de son projet en 2018 mais plusieurs points de la voiture n’avaient pas donné satisfaction. Cette fois-ci, XEV est revenue avec un nouveau prototype de voiture 3D nommée YoYo. Ce modèle a été fabriqué à hauteur de 75 % en 3D. La société cherche donc, à terme, à monter ce taux à 90 %. XEV souhaite donc réduire considérablement les coûts et les délais que représente tout le processus de conception d’une voiture (de l’idée à la commercialisation).
Le prix de cette petite voiture 2 places est de 7 995 €
Une réplique de Lamborghini en 3D
Sterling Backus est un physicien qui a réalisé la majorité des pièces d’une Lamborghini grandeur nature grâce à l’impression 3D. Simplement équipé d’imprimantes de bureau, le physicien a pu réaliser sa voiture 3D en 1 an et demi environ pour un investissement estimé à 20 000 €. Le but de ce projet a été de montrer aux plus jeunes les possibilités infinies que peuvent nous offrir les nouvelles technologies. Découvrez-en plus sur la page Facebook du projet.
Local Motors et sa Strati
Le constructeur Local Motors a sélectionné un prototype de voiture 3D nommée Strati. C’est un coupé sport biplaces 100% électrique créé en 2014. La voiture 3D est composée de 40 éléments imprimés en 3D puis assemblés. Seuls les roues, les suspensions, le moteur et le pare-brise sont fabriqués de façon conventionnelle. La vitesse maximale est de 65 km/h. De plus, il suffit de seulement 44 heures d’impression pour réaliser l’ensemble des pièces 3D.
Découvrez également nos différents articles sur notre page actualité.
Si vous êtes intéressé par la 3D ou si vous cherchez une entreprise d’impression 3D pour un projet de pièces, n’hésitez pas à nous contacter par mail ou via notre formulaire de demande en ligne.
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